superstitions
La peur des morts et les fantômes au Moyen Age, un legs de l’Antiquité
L’exploration de l’univers fascinant des peurs collectives devant la mort mêlant croyances chrétiennes et superstitions païennes. Lémures, lamies, incubes et succubes romains trouvèrent ainsi une nouvelle existence dans le monde des fantômes médiévaux.
Le diable et les créatures de la nuit au Moyen Age
La personnification de l’idée abstraite du mal a engendré, au travers du mythe de l’ange déchu, la figure médiévale du diable, à la fois rusée, terrifiante, familière et omniprésente, parfois aussi instrumentalisée à des fins politico-religieuses. De forme humaine, velu, cornu, griffu, avec une queue fourchue, il évoque le bouc mais aussi les satyres romains. Peu après l’an Mil, Raoul Glaber, qui l’a vu, en donne une description fort précise. Un sombre cortège apparaît à ses côté et en Enfer, une multitude de démons torturent les damnés, la démonologie devenant quasiment une science à la fin du Moyen Age
La magie noire : sorciers et sorcières devant l’Inquisition.
L’exploration de l’univers sombre des terreurs collectives qui s’expriment dans l’idée de l’idée de magie noire. La figure du sorcier ou de la sorcière, chargée de tous les maux du temps, a fait l’objet d’une répression féroce et irrationnelle, particulièrement à la fin du Moyen Age.
Les legs de la mythologie nordique, fées, elfes, géants et nains.
L’exploration de l’univers étrange et fascinant des contes populaires qui plongent leurs racines au plus profond des mythes issus des anciennes croyances du paganisme nordique.
Le paganisme christianisé, fêtes, culte des saints et superstitions au quotidien
Derrière les fêtes chrétiennes et les cultes des saints se cachent souvent des pratiques léguées par l’Antiquité. De même, les superstitions populaires mêlent christianisme et paganisme de façon confuse. Certaines de ces croyances ont survécu jusqu’au XXe siècle.